Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Je fuis l’Angoisse de cette situation
En cherchant dans ma chambre une consolation
Comme Baudelaire, je reste dans mon cercle.
J’admire le soleil à travers la fenêtre
L’âme pleine de foi, le cœur plein de rayons
Comme Victor Hugo dans Les Contemplations,
Je me berce dans la distraction de mon être.
Hélas cet instant de joie n’est pas éternel
On retombe dans les limbes existentiels
En vain le jour succède au jour…aucune trace.
Comme Lamartine, j’invoque les rivages
du passé, et ma chambre, au cœur de ce voyage
Perd les limites sensibles de tout espace.